
Vous ne pouvez pas l’apercevoir, tout au plus sentir une ombre ou un courant d’air. Lui, il vous écoute et observe, sous le buffet, ayant pour seul champ de vision vos chaussures ou le bout de votre parapluie. Il se faufile, comptant ses pas, se confond avec les murs ou la nuit, trouve refuge derrière les piles de livres ou dans une boite. L’enfant lézard de Vincenzo Todisco.
Lire la suiteLe visage de Nonna Assunta pâlit quand elle annonce à l’enfant : « La semaine prochaine, tes parents viennent te chercher. Ça n’est pas autorisé normalement, mais ta mère veut t’avoir avec elle, il faut la comprendre. »








