
Aujourd’hui, c’est à mon tour d’intégrer ce mois thématique où nous souhaitons mettre les écrivains de l’Europe de l’Est à l’honneur. J’aurais bien aimé vous présenter un livre lumineux et optimiste, susceptible d’apporter un peu de soleil chez vous lors de ce dimanche pluvieux. Au lieu de ça, je vais vous conseiller d’acheter ce roman bulgare intitulé Mères, provenant de la plume de Théodora Dimova, qui décortique les origines de la violence à travers les destins d’un groupe d’adolescents.
(…) son père, Yordann, était dans l’incapacité absolue de comprendre que l’on ne puisse s’adonner à l’écriture de romans et de poèmes, pour lui, les gens qui ne s’occupaient pas de littérature n’étaient que des semi-humains, voire des non-humains.
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