
En ayant appris que Passage à l’Est et Chez Mark et Marcel organisaient une lecture commune autour de l’écrivaine biélorusse Svetlana Alexievitch, prix Nobel de littérature 2015, j’ai souhaité répondre à l’appel. C’est le quatrième livre de l’autrice que je lis, après La Supplication, La fin de l’homme rouge et Derniers témoins. Fidèle à sa méthode de collecter des témoignages, elle situe cette fois son récit intitulé Les cercueils de zinc à la fin de la guerre qui opposa l’URSS à l’Afghanistan dans les années 80.
Lire la suiteLa peur est plus humaine que le courage : on a peur, on se prend soi-même en pitié.